Qu'ont en commun Janet Robinson, chef du New York Times, William Eldredge, un haut gradé de l'armée américaine et Rahm Emmanuel, le chef de cabinet de Barack Obama ? Ils figurent sur la liste des éminents personnages dont les données personnelles ont fuité à cause d'une faille sur l'iPad.
La faute de cette déconvenue massive, deux mois seulement après la sortie du dernier gadget de Steve Jobs, incomberait à l'opérateur téléphonique américain At&t. En tout 114 000 personnes, les "early-adopters" de l'iPad, ont ainsi vu une partie de leur intimité numérique mise à nue.